Les invendus textiles seront bientôt interdits de destruction
Les enseignes de mode doivent recycler davantage et à faire des dons aux associations sous peine de sanction.
De surcroît, la loi doit être soumise au Parlement avant l’été. En attendant, les acteurs de l’économie circulaire craignent une loi a minima. Cependant, les enseignes de luxe redoutent une réglementation trop contraignante.
Ainsi, dans une lettre envoyée lundi 4 février au Premier ministre, Edouard Philippe, une trentaine d’acteurs de l’économie circulaire, dont Emmaüs France, Zero Waste France, GreenIT. fr, ou Co-Recyclage, dénoncent le risque de « manque d’ambition ».
Surproduction
De plus, plusieurs millions de tonnes de textiles sont jetées à la poubelle chaque année. La surproduction de vêtements a un impact considérable sur la planète. Pour pouvoir produire un vêtement, il faut compter tous les matériaux utilisés. (les moyens de transport, le gaspillage d’eau pour traiter les vêtements, toutes les chutes non utilisables…) Tous ces facteurs polluent notre planète.
Pollution des eaux
De nos jours, plus de 70% des cours d’eau et des rivières en Chine sont pollués à cause de l’industrie du textile. L’eau change de couleur. Les gens sont malades et doivent porter des masques de protection toxique.
Vêtements peu mis
Actuellement, 70% de nos vêtements dans notre armoire seraient délaissés. Nous achetons plus de 10 kg de vêtements neufs chaque année. Son poids en gaz a effet de serre serait équivalent pour sa production.
Ce projet de loi a pour but de diminuer la pollution créée par la production des usines textiles et de préserver notre planète.
Ainsi, il se pourrait qu’en cette fin d’année 2019, le ministère de l’environnement prenne des décisions radicales. Il imposerait des sanctions si le gaspillage de textile se fait ressentir.
Confia élargit ses services allant jusqu’à la destruction de textile afin de pouvoir recycler vos tissus. Ainsi, Confia répond aux enjeux écologiques afin de mieux gérer vos déchets.